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Je crois que, dans ce beau petit village d'Aïn-
Je me souviens que, lorsque j'étais enfant et que j'allais y passer mes vacances, ma mère, qui connaissait beaucoup de monde, me demandait très souvent, de m'arrêter pour dire bonjour et faire la bise à bon nombre de Taties, de Tontons, de cousins et autres jolies cousines que je connaissais à peine, mais qui toutes nous disaient la même chose : "...mais qu'est-
Un peu plus tard, à l'adolescence, ce fut le café de ma tante Carmen FERRANDEZ qui devint pour moi, le point de rencontre idéal, j'y retrouvais là, mes cousins Francis et Christian ainsi que mon autre cousin, Paul ESCODA.
Le Dimanche après-
Comment aussi ne pas évoquer, du côté de la branche maternelle (MENGUAL), la gentillesse de ma tante Adrienne et de mon oncle Paco, ainsi que celle de mes cousines Conchita et Carmen, avec lesquelles je suis toujours resté très lié.
La plage où nous allions nous baigner était située juste en face de leur maison, un peu en contrebas d'un chemin d'où nous pouvions avoir une très jolie vue "plongeante" sur cette anse.
C'est sur des rochers relativement plats qui s'avançaient dans la mer, que mon père nous emmenait, avec mon frère Guy (mon aîné de 2 ans), faire de belles pêches de "marbrés" que nous tirions de l'eau avec des lignes à trois hameçons.
Voilà... c'est en repensant à quelques clichés comme ceux-
Certes, je regrette un peu que le Livre d'Or du site de L'Amicale (ainelturck.fr) ne soit pas davantage utilisé mais, je reconnais bien volontiers que, par tradition, la transmission des mémoires et des histoires se faisait davantage par l'oralité que par l'écriture.
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René Montaner
(La Lettre d'AÏN-